Au bout du chemin...
Le printemps s'est installé et mes envies renaissent. Hier soir, j'ai terminé ma semaine de boulot (pour une fois complète !) au Théâtre du Chatelet où les Trockadero Ballets ont triomphé ! Au programme de la soirée, la mort du cygne comme jamais on n'a rit, un rappel enthousiasmant, une ambiance générale détendue et hors du temps. Je n'ai pas vu les deux heures de spectacle passées. Et cette réflexion : je devrais renouveler plus régulièrement ce genre de sortie qui vous détend et engage le week end dans la meilleure humeur qui soit.
Aujourd'hui, c'est jour de manifestation et le quartier de Nation va être bloqué une bonne partie de l'après-midi. Cela ne me dérange pas même si ça complique les transports : c'est dans ces moments-là que je préfère m'isoler, passer du temps à me retrouver, même si je m'aperçois combien je peux vivre intensément et en accord avec moi-même ces derniers temps. Souffler, l'espace d'une demie journée, prendre le temps et faire le point. J'ignore pourquoi, mais depuis quelques semaines, je suis heureux. Enfin, je me sens comme tel même si un observateur extérieur à ma vie pourrait me rétorquer qu'il n'y a aucune raison pour que je le sois réellement. Qu'importe, le bonheur se vit sur un mode subjectif.
Véronique me donne vraiment envie d'écrire. Non par à-coups, comme je le fais sur ce blog, mais avec un véritable roman à la clef. La question est : que raconter ? Avoir quelques idées ou raconter sa jourée, je peux le faire, mais se concentrer et emmener un lecteur dans un univers littéraire, cela me semble insurmontable. Il faut que j'en discute avec elle, mais, cet après-midi, je lui ai fait faux-bond. J'espère que les séances de dédicasse au salon du livre se sont bien passées. Je ne m'imagine pas du tout à sa place, parmi tous ces auteurs plus connus pour lesquels une foule de lecteurs se pressent autour des stands. Tel est l'attrait de la notoriété. Cette dernière se construit, fort heureusement, surtout en littérature. Même si un mouvement de fond, inspiré par la télé réalité, touche tous les domaines artistiques (le loft, la star ac...), il faut savoir écrire, et bien écrire, pour se faire un nom en littérature. Et encore... je n'ai pas lu les livres de Loana et d'autres "stars" du petit écran (qui ont été tirés à moults exemplaires -je parle des livres ;-)), mais certains ont pu connaître un petit succès de librairie sur la simple apposition de leur nom sur une couverture. Niveau contenu, c'est une autre question j'imagine, mais comme je ne les ai pas lus, je ne me permettrai pas de juger.
Aujourd'hui, c'est jour de manifestation et le quartier de Nation va être bloqué une bonne partie de l'après-midi. Cela ne me dérange pas même si ça complique les transports : c'est dans ces moments-là que je préfère m'isoler, passer du temps à me retrouver, même si je m'aperçois combien je peux vivre intensément et en accord avec moi-même ces derniers temps. Souffler, l'espace d'une demie journée, prendre le temps et faire le point. J'ignore pourquoi, mais depuis quelques semaines, je suis heureux. Enfin, je me sens comme tel même si un observateur extérieur à ma vie pourrait me rétorquer qu'il n'y a aucune raison pour que je le sois réellement. Qu'importe, le bonheur se vit sur un mode subjectif.
Véronique me donne vraiment envie d'écrire. Non par à-coups, comme je le fais sur ce blog, mais avec un véritable roman à la clef. La question est : que raconter ? Avoir quelques idées ou raconter sa jourée, je peux le faire, mais se concentrer et emmener un lecteur dans un univers littéraire, cela me semble insurmontable. Il faut que j'en discute avec elle, mais, cet après-midi, je lui ai fait faux-bond. J'espère que les séances de dédicasse au salon du livre se sont bien passées. Je ne m'imagine pas du tout à sa place, parmi tous ces auteurs plus connus pour lesquels une foule de lecteurs se pressent autour des stands. Tel est l'attrait de la notoriété. Cette dernière se construit, fort heureusement, surtout en littérature. Même si un mouvement de fond, inspiré par la télé réalité, touche tous les domaines artistiques (le loft, la star ac...), il faut savoir écrire, et bien écrire, pour se faire un nom en littérature. Et encore... je n'ai pas lu les livres de Loana et d'autres "stars" du petit écran (qui ont été tirés à moults exemplaires -je parle des livres ;-)), mais certains ont pu connaître un petit succès de librairie sur la simple apposition de leur nom sur une couverture. Niveau contenu, c'est une autre question j'imagine, mais comme je ne les ai pas lus, je ne me permettrai pas de juger.