Première sortie sans tabac
Direction les Folivores. Petite soirée puisqu'arrivé vers 1 heure du matin, j'en suis parti vers 3 heures. 17euros les deux heures de déhanchement, ça fait mal au porte-feuille. ça draguait de partout - ou presque. Parfois, on a l'impression d'être un bout de viande jeté en pature à un banc de pyrahnas. Brrrrrrrrrrr ! D'un autre côté, il faut reconnaître que c'est plutôt flatteur de se sentir convoité (le mot est un peu fort, j'avoue !). Bon sang, papillon, il faut savoir !! Je crois que je ne pourrai pas vivre sans le regard approbateur d'une multitude : un terrible besoin de se rassurer, d'être sûr de toujours plaire. Des tests incesssants. Pourtant, d'un caractère plutôt solidaire, je reste assez froid d'apparence. Enfin... c'est ce que je crois. On me parle toujours de mon regard... Un regard, ce n'est jamais froid.
Cette soirée fut donc une de ces soirée où j'oberve plus que j'y participe réellement. Dans ces moments-là, et ça se voit, "je ne suis pas dedans". J'ai éprouvé le sentiment paradoxal d'être à la fois si bien dans ce milieu gay et si peu à ma place. C'est dur de considérer que toutes les personnes qui dansent autour de vous ne vous veulent que du bien. Paranoïaque, moi ? M'en moque...
A part ça, vous allez bien ? En ce moment, je ne bloggue pas tellement. Je délaisse un peu MSN et puis j'ai cassé mon portable... Si l'on rapproche cela de la tonne de boulot que j'ai actuellement et des cinq séances de sport hebdomadaire, je comprends pourquoi être entrainé dans le tourbillon de la vie...