Insomnie... quand tu nous tiens...
Voilà maintenant presque une semaine que je me réveille toutes les nuits, vers 4/5 heures du matin. Même si j'ai une petite idée sur la cause de ces réveils nocturnes, je ne peux m'empêcher de tourner et retourner dans mon lit pour finalement le quitter et commencer ma journée. Avantage : j'arrive très tôt au bureau. Inconvénient : je ne suis pas très en forme. Pourtant je n'ai pas l'impression de faiblir : jamais, dans ma vie, je n'ai fait autant de sport, entre la gym suédoise (3 fois par semaine) et les séances au Waou Club Méd Gym (3 fois par semaine également). Un bonheur n'arrivant jamais seul, plus mon corps se dessine, plus je passe de temps à me bouger pour en prendre soin.
Quoi qu'il en soit, me voici à nouveau levé en pleine nuit. 5 heures 10. Trop tôt. Trop tard. Heure bâtarde. Encore cette fichue impression d'être seul. Je surfe de blogs en blogs. Je lis mes amis. Ils n'ont pas tous l'air d'aller bien. Allez, courage ! Tout ira mieux demain. D'ailleurs je suis déjà en train de vivre demain : je vous y attends.
Un coup d'oeil par la fenêtre : le ciel paraît dégagé. Il va faire beau. Beau, mais froid. Encore une journée à passer. Je sais déjà que demain ressemblera à ce petit matin. J'ignore par contre si mon état est passager ou s'il est amené à durer. Je me sens fatigué. Je le suis. Pas de vacances avant longtemps même si je pars quelques jours, loin de Paris. Opportunément bien choisis : je vais pouvoir changer d'air à défaut de me changer les idées.
Pour finir sur une note plus positive, histoire de pas laisser la dernière impression à ce spleen languissant, je vais avouer que j'ai bien conscience de vivre les meilleures années de ma vie. Je me dis que ça n'est pas prêt de s'arrêter.