Le jour où je suis rentré de vacances
Dé-ten-du. Je rentre de vacances dé-ten-du. Plein de photos et d'oxygène pour les jours à venir : je savoure les bienfaits de quelques jours loin de Paris. J'aurais, sans doute, l'occasion de mettre en ligne un album souvenirs, histoire de vous faire partager un peu de ciel bleu et de soleil qu'à mon étonnement j'ai retrouvés à la sortie de l'aéroport, en rentrant de ce petit périple.
Au cours de ce séjour, avec Jibé, nous avons eu l'occasion de nous rendre compte combien le Français pouvait être un emmer****. Là où nous étions, se cotoyaient principalement Russes, Israëliens, Anglais, Allemands, et Français. Vous le croirez ou non, mais c'était souvent des Français qui :
- parlaient fort à table
- prenaient leur temps pour manger alors que tout un groupe de cinquante touristes les attendait pour partir en excursion
- arrivaient en retard (forcément... vu le temps qu'ils mettaient à baffrer)
- critiquaient (la nourriture - à croire qu'on ne mange bien qu'en France, le service, le temps...)
- faisaient ce qu'il ne fallait pas faire (surtout ne pas marcher sur le corail, ne pas donner à manger aux poissons...)
Forcément, ce n'est pas très objectif, la langue commune faisant qu'on prêtait plus attention à nos concitoyens qu'aux autres touristes. Les Russes n'étaient pas mal non plus dans leur genre ceci-dit.
Parfois j'avais envie de leur mettre des claques. Je le faisais d'ailleurs, mais virtuellement. Et je piquais une tête dans la piscine, histoire de me laver de mon péché. C'est là où je me suis rendu compte que, même en vacances dans un endroit de rêve, je pouvais avoir des pics d'énervement, phénomène que je cantonnais jusqu'à présent au bureau et dans le métro. Si vous avez cliqué sur la video, en gros, ça se manifeste de la même façon : c'est une explosion de poussin ;-)
Voilà, quelques mots pour vous dire que le blog va reprendre son activité même si je repars très prochainement. Je vous tiens au courant de toute façon.