Sunny Mid-Week
Un dimanche en pleine semaine... J'ai pas hésité longtemps avant de poser une journée de congé aujourd'hui. J'avais une envie de faire une pause dans une semaine de travail que je ne qualifierais pas d'acharné mais de prenant. Cela me permet de souffler, de ne pas y penser et, souvent, de mieux repartir. Je me retrouve également : bain moussant, préparation d'un bon déjeuner, Derrick... Je vais également faire quelques courses et opérer un nettoyage chirurgical dans la mesure où l'état de propreté de mon appartement est proche de la perfection. Peut-être une sieste en fin de journée pour la couronner, mais ce serait entâmer mon capital sommeil au détriment d'une nuit que je souhaite tout aussi réparatrice que cette journée.
Il est souvent bon de ne rien faire, de se laisser aller et de voir jusqu'où nous nous sommes laissés porter. Il y a deux issues : soit c'est vers le futur que notre conscience se projette, soit c'est dans le passé qu'elle se tourne. Je me dis que le choix entre ces deux états, un vrai visage de Janus, est révélateur de notre état d'esprit. Je ferai le test tout à l'heure, allongé sur mon canapé, les yeux fermés... Je verrai bien où ma conscience se posera.
Bizarrement, le temps, d'ordinaire si peu conforme à sa saison, est une caricature de l'automne. Paris sous les feuilles jaunies mortes, du vent les emportant, quelques gouttes de pluie entre soleil et nuages gris, des températures douces... Un vrai tableau vivant, que l'on regarde assis sur un banc. Si je resors, j'irai me promener au Père Lachaise, histoire de planter définitivement le tableau. ;-)
Il est souvent bon de ne rien faire, de se laisser aller et de voir jusqu'où nous nous sommes laissés porter. Il y a deux issues : soit c'est vers le futur que notre conscience se projette, soit c'est dans le passé qu'elle se tourne. Je me dis que le choix entre ces deux états, un vrai visage de Janus, est révélateur de notre état d'esprit. Je ferai le test tout à l'heure, allongé sur mon canapé, les yeux fermés... Je verrai bien où ma conscience se posera.
Bizarrement, le temps, d'ordinaire si peu conforme à sa saison, est une caricature de l'automne. Paris sous les feuilles jaunies mortes, du vent les emportant, quelques gouttes de pluie entre soleil et nuages gris, des températures douces... Un vrai tableau vivant, que l'on regarde assis sur un banc. Si je resors, j'irai me promener au Père Lachaise, histoire de planter définitivement le tableau. ;-)